Avec l’appui de la Fondation Princesse Charlène de Monaco, Nile Swimmers, association basée au Pays de Galles, a envoyé deux volontaires à Khartoum au Soudan dernièrement afin de démarrer un nouveau programme. Il s’agit de former des instructeurs qui pourront ensuite apprendre aux enfants les messages clefs en matière de sécurité aquatique.
Pour ce faire, Dan Graham et Becky Sindall ont travaillé avec une équipe soudanaise composée de trois instructeurs Scout marins, préalablement formé. Ensemble, pendant deux semaines, ils ont entraîné 17 hommes et 19 femmes à devenir instructeurs pour le programme « bases de la survie en milieu aquatique ».
Pour la première fois dans l’histoire de l’association Nile Swimmer, une formatrice a pu se rendre sur place pour former des soudanaises. En effet, au sein des familles, les femmes sont habituellement en charge des enfants, elles occupent un rôle central dans leur éducation.
Le Continent africain a l’un des taux les plus élevés de décès par noyade. Il s’agit d’un risque majeur pour des milliers de villageois. Bien que les rivières et les lacs soient fréquentés dans le cadre des activités quotidiennes, ou pour la pêche ou le transport, très peu de gens sont en mesure de nager.
Ces nouveaux instructeurs seront financés par Nile Swimmer afin de leur permettre de dispenser la formation « bases de la survie en milieux aquatique » dans les écoles, les mosquées et au sein des différentes communautés de la zone de Khartoum. Cette action sera suivie et coordonnée localement par Mai Elamin de Nile Swimmers, qui est également instructeur en sécurité aquatique.
© Nile Swimmers
Pour ce faire, Dan Graham et Becky Sindall ont travaillé avec une équipe soudanaise composée de trois instructeurs Scout marins, préalablement formé. Ensemble, pendant deux semaines, ils ont entraîné 17 hommes et 19 femmes à devenir instructeurs pour le programme « bases de la survie en milieu aquatique ».
Pour la première fois dans l’histoire de l’association Nile Swimmer, une formatrice a pu se rendre sur place pour former des soudanaises. En effet, au sein des familles, les femmes sont habituellement en charge des enfants, elles occupent un rôle central dans leur éducation.
Le Continent africain a l’un des taux les plus élevés de décès par noyade. Il s’agit d’un risque majeur pour des milliers de villageois. Bien que les rivières et les lacs soient fréquentés dans le cadre des activités quotidiennes, ou pour la pêche ou le transport, très peu de gens sont en mesure de nager.
Ces nouveaux instructeurs seront financés par Nile Swimmer afin de leur permettre de dispenser la formation « bases de la survie en milieux aquatique » dans les écoles, les mosquées et au sein des différentes communautés de la zone de Khartoum. Cette action sera suivie et coordonnée localement par Mai Elamin de Nile Swimmers, qui est également instructeur en sécurité aquatique.
© Nile Swimmers